Nouvelle Audi TT : un restylage aiguisé !


Plus musclée, la dernière Audi TT s'impose davantage face à une concurrence de plus en plus agressive ! Une nouvelle version qui va, comme d'habitude, faire parlé d'elle !
La nouvelle Audi TT enfonce le clou après l'apparition récente de certaines concurrentes plus abordables. La reine remettra-t-elle tout le monde d'accord.
Doit-elle trembler face à la Lionne ?
Mètre-étalon du segment, le coupé d’Ingolstadt voit aujourd’hui débouler une nouvelle concurrente : la Peugeot RCZ. Plus audacieuse de lignes et surtout plus attractive financièrement, la Lionne aux dents longues se verrait bien menacer la suprématie de l’icône bavaroise.
Quelques retouches, sans plus
Le dernier salon de Leipzig constituait donc l’occasion pour cette dernière de s’offrir une légère remise à niveau, qui concerne toutefois le ramage plus que le plumage. Comme impassible face à la jeunette sochalienne, la sportive germanique se contente en effet de retouches cosmétiques particulièrement mesurées.
Ce qui change
Les retouches du bouclier avant, qui concernent principalement le dessin des prises d’air, portent la longueur totale à 4,18 m, tandis que les projecteurs arborent des diodes dès la version d’appel. Sans surprise, l’apparence de la voiture n’est pas transfigurée, et seuls les connaisseurs identifieront immédiatement la nouvelle venue.
Le 2.0 TFSI prend du muscle !
A défaut de révolution esthétique, la belle allemande profite d’une cure de musculation. Si la plupart des mécaniques sont reconduites à l’identique, le bloc essence 2.0 TFSI bénéficie en revanche d’une solide remise à niveau. Davantage que l’évolution de la puissance, qui passe de 200 à 211 chevaux, il convient de souligner l’augmentation significative du couple, qui bondit de 280 à 350 Nm.
De mieux en mieux
Bien entendu, les performances profitent logiquement de cette prise d’anabolisants : le 0 à 100 km/h est désormais expédié en 6,1s (et même 5,6s avec la boîte DSG), contre 6,6s initialement. Mais la carte maîtresse de l’allemande, qui se contente d’une consommation normalisée de 6,6 l/100 km, demeure son excellent rendement énergétique.
Garant d’une sobriété appréciable, celui-ci lui épargne le malus qui affecte sa nouvelle rivale sochalienne.